Envie d’acheter avant de vendre votre logement actuel. Découvrez comment fonctionne le prêt relais, ses risques, son calcul et les conseils d’un chasseur immobilier.
📅
11/12/2025

Le prêt relais est souvent la clé pour acheter un nouveau logement avant d’avoir vendu le précédent, mais son fonctionnement réel reste flou pour beaucoup de propriétaires. Entre calcul du montant, durée, taux, risques et impact sur votre capacité d’emprunt, une erreur d’appréciation peut fragiliser tout votre projet.
En tant que chasseur immobilier, je vous propose un décryptage concret du prêt relais, spécialement pensé pour les propriétaires et les familles en transition qui veulent déménager sans passer par la case location. Vous découvrirez comment une banque calcule votre prêt relais, comment se déroule un projet sur le terrain, dans quels cas ce montage est pertinent et comment éviter de devoir brader votre bien. À la fin de l’article, une FAQ, des cas pratiques chiffrés et un encart “À retenir” vous permettront de repartir avec une vision claire et exploitable.
Avant de parler chiffres ou durée, il est indispensable de poser une définition claire du prêt relais. Il s’agit d’un financement immobilier transitoire, conçu pour combler le décalage de trésorerie entre la vente de votre résidence actuelle et l’achat du prochain logement. En pratique, la banque vous avance une partie de la valeur de votre bien à vendre, en misant sur le fait que la vente se réalisera dans un délai raisonnable à un prix cohérent.
Ce mécanisme permet d’acheter avant de vendre, sans recourir à un double financement complet. Bien utilisé, le prêt relais est un outil qui sécurise votre projet et évite le stress d’un déménagement en plusieurs temps.
Un prêt relais immobilier est un crédit de courte durée, généralement accordé pour 12 à 24 mois, qui vous permet d’acheter un nouveau bien alors que la vente de votre logement actuel n’est pas encore finalisée. La banque prend en compte la valeur estimée de ce bien et vous en prête une fraction, en appliquant une marge de sécurité.
Le capital emprunté est remboursé en une seule fois au moment de la vente, ce qui évite d’assumer deux crédits immobiliers à long terme en parallèle. Pendant la durée du prêt relais, vous payez soit uniquement les intérêts, soit des mensualités composées d’intérêts et, parfois, d’une petite part de capital. C’est cette souplesse qui permet aux propriétaires et aux familles de gérer plus sereinement leur transition résidentielle.
Concrètement, le fonctionnement du prêt relais repose sur une logique simple : la banque avance aujourd’hui une partie de l’argent que vous devez recevoir demain lors de la vente de votre logement. Vous signez d’abord un compromis ou une promesse d’achat pour le nouveau bien, puis votre conseiller bancaire étudie votre situation et la valeur de votre bien actuel.
S’il valide le montage, le prêt relais est mis en place pour financer une partie de l’opération, souvent en complément d’un prêt immobilier classique. Une fois votre bien vendu, le produit de la vente sert à rembourser le capital du relais, et le cas échéant, à diminuer le montant du crédit principal. Ce mécanisme vous évite d’attendre la vente pour vous positionner sur un bien, ce qui est précieux dans les marchés tendus où les délais de décision sont très courts.
On distingue trois grands types de prêt relais, chacun adapté à une situation particulière. Le prêt relais simple est utilisé lorsque le produit de la vente de votre bien financera l’essentiel de votre nouvel achat et que le besoin de crédit complémentaire reste limité.
Le prêt relais adossé est combiné avec un prêt immobilier classique, ce qui est très fréquent lorsque la nouvelle acquisition est plus chère que le bien vendu. Le prêt relais sec intervient lorsque la vente couvre presque totalement le prix du nouveau bien et que vous avez seulement besoin d’une avance temporaire sur la somme à encaisser. Le choix entre ces trois formats dépend de votre budget, de la valeur de vos biens et de votre niveau d’endettement, mais aussi des règles internes de chaque banque et de leur analyse du risque (Source: www.anil.org).
Le calcul du montant de votre prêt relais n’est jamais laissé au hasard. La banque commence par analyser la valeur de votre bien à vendre, la dynamique du marché local et votre situation financière globale. Elle applique ensuite une décote prudente sur cette valeur, de manière à se protéger contre une négociation plus forte que prévu ou un délai de vente plus long.
C’est cette approche de prudence qui explique pourquoi vous n’obtenez pas 100% de la valeur estimée, mais plutôt 50 à 70%. Comprendre cette mécanique est essentiel, car elle conditionne directement le budget que vous pourrez consacrer à votre nouvel achat et la faisabilité de votre projet d’achat avant vente.
La première étape du calcul consiste à estimer correctement votre bien actuel, généralement à partir d’avis de valeur d’agents immobiliers, de données de marché et de références de ventes récentes. Sur cette base, la banque applique un pourcentage de prudence, souvent autour de 60%, pouvant monter à 70% en zone très tendue, ou descendre à 50% sur un marché plus lent.
Un bien estimé 400000€ permettra ainsi souvent d’obtenir un prêt relais d’environ 240000€. Cette décote protège l’établissement en cas de baisse de prix ou de négociation plus rude que prévu, mais elle vous protège aussi contre le risque de surestimer votre capacité d’achat. Plus l’estimation est réaliste, plus le montage financier est solide et plus votre projet a de chances de se dérouler sereinement.
Une estimation trop optimiste peut faire basculer tout votre projet, car elle conduit à un prêt relais surdimensionné par rapport à ce que le marché est réellement prêt à payer. C’est pour cette raison que les banques apprécient les estimations sourcées, appuyées par des ventes comparables et des niveaux de prix cohérents avec la réalité locale (Source: www.banque-france.fr).
Elles appliquent ensuite une marge de sécurité pour absorber les aléas, ce qui permet d’éviter qu’un prix de vente final plus faible ne vienne déstabiliser votre plan de financement. En tant que chasseur immobilier, je recommande toujours de confronter plusieurs avis de valeur et de rester lucide sur le positionnement prix, surtout pour les biens atypiques ou situés sur des marchés plus lents, afin de sécuriser à la fois l’accord bancaire et la réussite de la vente.
Dans ces trois cas, on voit que le pourcentage retenu par la banque varie en fonction de la tension du marché et du risque perçu. Une famille qui vend un appartement en centre-ville très recherché pourra financer une part plus importante de son nouveau logement grâce au prêt relais.
À l’inverse, un bien situé dans une zone où les délais de vente sont plus longs donnera accès à un montant moindre, ce qui peut imposer soit un apport complémentaire, soit un projet plus modeste. Ces cas pratiques montrent à quel point la réalité du marché local et la qualité de l’estimation influencent votre capacité d’achat et doivent être intégrées dès le départ dans votre réflexion.
Une fois le montant du prêt relais validé, le succès de l’opération repose sur une bonne gestion du calendrier et une coordination rigoureuse entre tous les intervenants. Le montage ne se résume pas à un simple accord de principe, il implique plusieurs signatures, des conditions suspensives, des délais réglementaires et parfois des renégociations.
Pour un propriétaire ou une famille en pleine transition, cette phase peut vite devenir stressante si elle n’est pas anticipée. Comprendre le déroulement d’un projet avec prêt relais, du premier compromis jusqu’à la vente finale, permet de garder la main sur les délais et d’éviter les mauvaises surprises.
La plupart du temps, tout commence lorsque vous signez un compromis de vente pour votre futur logement, avec une condition suspensive d’obtention de financement incluant le prêt relais. Vous transmettez ensuite ce compromis à votre banque, qui étudie votre dossier, la valeur de votre bien actuel et votre capacité d’endettement globale.
Une fois l’accord obtenu, les fonds du prêt relais et éventuellement du prêt immobilier classique sont débloqués pour l’acte d’achat chez le notaire. Votre bien actuel est mis en vente en parallèle ou déjà sous compromis, et la vente définitive permet de rembourser le capital du relais. L’ensemble doit s’inscrire dans la durée prévue au contrat, généralement 12 à 24 mois, ce qui impose d’organiser la commercialisation du bien sans tarder.
Au-delà du montant, chaque prêt relais possède ses propres conditions qu’il faut étudier avec attention pour éviter les mauvaises surprises. La première concerne les intérêts, qui peuvent être payés chaque mois ou capitalisés et réglés à la fin avec le capital, ce qui modifie la perception du coût total. La seconde touche à la durée maximale du prêt relais et aux conséquences en cas de vente tardive, comme une renégociation ou un basculement vers un autre type de financement.
La banque peut aussi conditionner l’accord à une mise en vente active de votre bien dans un délai précis, ou exiger un prix de mise sur le marché cohérent avec l’estimation. Un échange transparent avec votre conseiller bancaire, complété par un accompagnement immobilier, permet d’éviter des engagements que vous ne pourriez pas tenir sans pression inutile.
Un projet avec prêt relais implique plusieurs professionnels qui doivent avancer dans le même tempo pour sécuriser l’ensemble du montage. Le notaire gère la rédaction des compromis et des actes, la banque coordonne le déblocage des fonds, tandis que les agents immobiliers ou le chasseur immobilier s’occupent de la commercialisation et de la recherche de biens.
Un retard dans la constitution d’un dossier, un document manquant ou une négociation qui s’éternise peut décaler une signature et déséquilibrer le calendrier. C’est pour cette raison que l’accompagnement par un professionnel du terrain est particulièrement précieux : il permet de garder une vue d’ensemble, d’anticiper les points de blocage et de défendre vos intérêts à chaque étape. Pour une famille en pleine transition, cette coordination est souvent la différence entre un projet fluide et un parcours semé de tensions.
Le prêt relais ne doit être ni diabolisé ni idéalisé. C’est un outil puissant qui peut vous offrir une grande liberté d’action, mais qui présente aussi des risques si vous négligez certains paramètres. L’enjeu est de mesurer précisément l’équilibre entre le confort d’acheter avant de vendre et la responsabilité financière que cela implique.
Les propriétaires en changement de résidence et les familles qui souhaitent éviter un passage par la location sont particulièrement concernés par ces arbitrages. En connaissant clairement les avantages, les risques et les erreurs à éviter, vous serez en mesure de décider en toute lucidité si le prêt relais est adapté à votre situation.
L’intérêt principal du prêt relais est de vous permettre d’acheter sans attendre la vente de votre bien, ce qui est déterminant sur un marché où les meilleures opportunités partent très vite. Au lieu de subir le calendrier de la vente, vous reprenez la main sur votre projet et pouvez choisir un logement vraiment adapté à vos besoins, sans vous contenter d’une solution par défaut.
Le prêt relais évite aussi de vivre une période intermédiaire en location, avec deux déménagements et des coûts supplémentaires. Pour une famille, cette continuité est particulièrement appréciable, notamment pour la scolarité des enfants. Enfin, le fait de ne pas être pressé de vendre vous donne un meilleur pouvoir de négociation, ce qui peut compenser en partie le coût du crédit.
Le risque le plus connu est de ne pas réussir à vendre votre bien dans les délais prévus, ce qui peut prolonger la durée du prêt relais et augmenter le coût des intérêts. Un autre risque consiste à vendre à un prix plus bas que prévu, obligeant à réajuster le plan de financement, voire à mobiliser de l’épargne de façon imprévue.
Un prêt relais mal dimensionné peut également générer une charge financière temporaire trop lourde, notamment si vous cumulez relais et mensualités d’un autre crédit. Certains ménages se retrouvent alors en situation d’inconfort budgétaire, voire de tension. Ces risques sont pourtant largement réduits lorsque le projet est préparé avec une estimation réaliste, une bonne connaissance du marché et une anticipation des différents scénarios de vente possibles.
L’un des effets pervers possibles du prêt relais est la tentation de baisser fortement le prix de vente pour ne pas dépasser la durée du crédit. Pour éviter de vous retrouver dans cette position, il est indispensable de mettre en vente votre bien rapidement, avec un prix d’affichage cohérent et une stratégie de commercialisation professionnelle.
Un reporting régulier avec votre agent ou votre chasseur immobilier permet de suivre l’attractivité du bien et d’ajuster si nécessaire, sans paniquer. Par ailleurs, il est utile de simuler plusieurs scénarios avec votre banque, dont un scénario prudent où la vente se ferait à un prix légèrement inférieur à l’estimation. En vous projetant dès le départ dans un cadre réaliste, vous gardez la main sur vos décisions et évitez de subir l’urgence.
Sur le terrain, on constate que le prêt relais peut être un formidable levier pour certaines familles et une source de stress inutile pour d’autres. Tout dépend du marché, de la qualité du bien vendu, du profil financier et du calendrier de vie. Le rôle d’un chasseur immobilier est justement d’analyser cette équation globale pour vous aider à déterminer si le montage est pertinent dans votre cas.
En combinant une lecture fine du marché local, une approche chiffrée et une prise en compte de votre situation personnelle, il est possible de trancher objectivement. L’objectif n’est pas de faire du prêt relais une solution systématique, mais un outil judicieux lorsqu’il s’inscrit dans une stratégie maîtrisée.
Le prêt relais est particulièrement adapté lorsqu’une famille doit déménager dans un délai contraint, par exemple pour une mutation professionnelle ou un changement d’établissement scolaire. Il l’est également lorsque le bien à vendre se situe dans un secteur très recherché, avec un délai de vente habituellement court et des prix stables.
Dans ces cas, la probabilité de vendre dans de bonnes conditions est forte, ce qui sécurise le montage financier. Le prêt relais prend tout son sens lorsque la nouvelle résidence apporte une réelle amélioration de vie : plus grande surface, meilleure localisation, réduction du temps de trajet. Dans ce contexte, l’outil permet de concrétiser le projet sans multiplier les ruptures dans le quotidien de la famille.
À l’inverse, il peut être prudent d’éviter le prêt relais lorsque le bien à vendre est très spécifique, sur un marché étroit ou avec des travaux importants à prévoir. Les délais de vente sont alors plus incertains et le risque de devoir ajuster fortement le prix à la baisse augmente. Si votre taux d’endettement est déjà élevé ou si vos revenus sont susceptibles de diminuer à court terme, la marge de manœuvre financière peut également se révéler trop limitée pour supporter ce type de montage.
Enfin, lorsque vous n’êtes pas pressé dans le temps, une stratégie consistant à vendre d’abord puis acheter ensuite peut s’avérer plus confortable, même si elle impose parfois une étape locative. Il est toujours préférable de renoncer à un prêt relais plutôt que de l’accepter à contre-emploi.
Pour décider sereinement, vous pouvez vous appuyer sur une méthode en quatre questions. Premièrement, votre bien se situe-t-il sur un marché où les délais de vente sont raisonnables et les prix stables. Deuxièmement, l’estimation obtenue est-elle confirmée par plusieurs professionnels et par des comparaisons de ventes récentes.
Troisièmement, votre budget reste-t-il équilibré même dans un scénario légèrement moins favorable sur le prix ou le délai de vente. Quatrièmement, votre projet de vie justifie-t-il vraiment de ne pas attendre la vente avant d’acheter. Si vous répondez positivement à ces quatre points, le prêt relais peut être un outil pertinent. Dans le cas contraire, il est utile de retravailler le projet ou d’envisager un autre type de financement.
Le montant d’un prêt relais est calculé à partir de la valeur estimée de votre bien immobilier à vendre, à laquelle la banque applique une décote de sécurité. Ce pourcentage se situe en général entre 50% et 70% selon la tension du marché, le type de bien et la politique de l’établissement.
La banque tient également compte de votre situation financière globale, notamment de vos revenus et de votre endettement actuel. L’objectif est de s’assurer que vous pourrez assumer le coût du relais le temps de la vente sans mettre votre budget en danger. C’est pourquoi un dossier bien documenté, avec des estimations sérieuses et un projet cohérent, augmente vos chances d’obtenir un montant adapté.
Le coût d’un prêt relais provient principalement des intérêts, calculés sur le capital emprunté, auxquels peuvent s’ajouter des frais de dossier et éventuellement une garantie. Les taux sont généralement proches des taux de crédit immobilier classiques, parfois légèrement supérieurs, mais sur une durée plus courte.
Vous pouvez limiter ce coût en choisissant une durée adaptée, en évitant de surdimensionner le relais et en capitalisant les intérêts uniquement si votre trésorerie ne permet pas de les payer mensuellement. Négocier les conditions avec plusieurs banques et présenter un projet solide peut également contribuer à obtenir un meilleur taux. Un accompagnement professionnel vous aide à comparer les offres dans le détail, au-delà du simple taux affiché.
Si votre bien ne se vend pas dans les délais prévus, la première étape est d’ouvrir le dialogue avec votre banque pour envisager une prolongation ou une transformation du prêt relais. Selon les situations, il peut être possible de renégocier la durée ou de convertir le relais en crédit amortissable classique. Il faudra alors vérifier l’impact sur votre taux d’endettement et votre budget mensuel.
Parallèlement, il est essentiel d’analyser les raisons de la non-vente du bien : prix trop élevé, présentation insuffisante, stratégie de commercialisation inadaptée. Ajuster ces paramètres avec l’aide d’un professionnel immobilier permet souvent de débloquer la situation. Dans tous les cas, plus vous anticipez ce scénario, moins il sera difficile à gérer.
La réponse dépend de votre situation personnelle, de votre marché et de votre tolérance au risque. Vendre avant d’acheter est la solution la plus prudente financièrement, car vous connaissez précisément le montant dont vous disposez et n’avez pas à supporter un crédit transitoire.
En revanche, cette stratégie peut vous obliger à passer par une période de location, avec deux déménagements et parfois des compromis sur la localisation ou la surface. Le prêt relais permet d’éviter ces inconvénients, mais vous expose à l’aléa du délai et du prix de vente. Pour un propriétaire ou une famille en transition, le bon choix est celui qui concilie confort de vie, sécurité financière et cohérence avec le calendrier du projet. Un accompagnement sur mesure vous aide à trouver ce point d’équilibre.
Le prêt relais est un levier très efficace pour acheter avant de vendre, à condition de le considérer comme un outil stratégique et non comme une simple facilité de trésorerie. Il repose sur trois piliers : une estimation réaliste de votre bien, un montage bancaire bien dimensionné et une commercialisation maîtrisée.
Enfin, pour des informations institutionnelles sur les prêts et le crédit, les sites de l’ANIL et de la Banque de France restent des références fiables et régulièrement mises à jour. En combinant ces ressources avec un accompagnement terrain, vous disposez de tous les éléments pour sécuriser votre transition et faire du prêt relais un véritable atout.

Article rédigé par Mélanie Jacquet,
Experte immobilière du blog MeCaza.
8/12/2025
Vous envisagez de vendre ou d’acheter un bien immobilier, mais le timing ne colle pas ? La vente longue est peut-être la solution idéale. Dans cet article complet, un expert immobilier vous explique comment cela fonctionne.
Lire l'article ⭢26/11/2025
La gestion d’actifs immobiliers vise à piloter, valoriser et rentabiliser un portefeuille de biens. Découvrez son rôle, ses objectifs et les tendances du métier.
Lire l'article ⭢24/11/2025
L’expert en patrimoine immobilier vous aide à construire, optimiser et transmettre votre patrimoine. Découvrez son rôle, ses missions et comment bien le choisir.
Lire l'article ⭢